« Bormida », un premier roman dont l’action se situe dans une vallée entre Piémont et Ligurie. Une action explosive puisqu’il s’agit de l’implantation d’une usine de dynamite (Merci Monsieur Nobel pour vos Prix !). Y sont décrits les dangers multiples qu’une telle industrie peut faire subir à une région habitée et les péripéties de ceux qui ont osé se mettre en travers d’un tel projet. La pollution est là qui menace l’environnement et la santé des gens. Où l’on découvre à cette occasion que les ressources en eau sont menacées...

Dans la culture amérindienne le capteur de rêves est un objet important. Il sert à filtrer les bons des mauvais rêves. Les bons passeront à travers le trou central pour être conservés dans les plumes installées autour du cerceau tandis qu'il emprisonnera dans ses mailles les cauchemars et tout ce qui pourrait perturber votre sommeil. Lorsque viendra le jour, le soleil détruira toutes les mauvaises énergies à l’aide de ses rayons. Et pour cela, il peut être utile s'habiter sur la Côte d'Azur...

Bientôt Noël et sa frénésie de cadeaux, pour gâter des enfants déjà blasés. La simplicité a disparu. Où sont nos Noëls d'antan se demande Jocelyne Mas ? L’actualité du jour nous apprend que le futur bébé de Kate Middleton est déjà couvert de cadeaux. Grand bien lui fasse ! Sera-t-il plus heureux une fois apparu dans notre monde ? Voici un petit Conte de Noël, de ceux qu'elle lit lors de ses interventions dans les écoles des Alpes-Maritimes (notamment à l'école Freinet à Vence), que nous offre Jocelyne. Pour les âmes sensibles, les larmes sont garanties...

Bataille de chiffres sur le dossier de l’EPR. Les 8 milliards € du projet (trois fois plus que le budget primitif) ne dérangent pas les partisans du nucléaire. Pour eux, ces dépassements sont anecdotiques et seront compensés par les recettes qu’ils annoncent mirobolantes. Pas un mot sur les coûts à long terme qu’engendreront les opérations de démantèlement d’ici 40 ou 50 ans (à la charge de nos enfants et petits enfants), ni sur les risques liés à l’exploitation de cette énergie (accidents provoqués par un tremblement de terre, une défaillance humaine ou technologique, un attentat...).

Toute forme de pollution terrestre ou aérienne aboutira un jour ou l’autre dans nos mers, avertissait déjà Jacques Yves Cousteau. Que cela prenne un an ou un siècle, nos déchets les plus dangereux termineront leur vie dans les océans, les lacs, les mers intérieures et les nappes phréatiques. Si certains finiront par se transformer en molécules inoffensives, d’autres s’y accumuleront et leurs effets n’en seront que plus destructeurs pour la biodiversité et pour notre survie dans des conditions acceptables. Quant à leurs interactions, il y a tout lieu d’être inquiet si l’on en croit les résultats des dernières recherches.

La faculté Espaces et Cultures de l'Université Nice Sophia Antipolis, par le biais du département de Géographie, Aménagement et Environnement Durables, en collaboration avec le Lycée Massena de Nice, organise son second café géographique niçois sur le thème : Lutte contre le réchauffement climatique, lutte contre la pollution de l'air : même combat ?

Voilà une initiative qui a le mérite d’être délicieusement originale et surprenante. Elle vient se positionner dans la droite ligne des projets de végétalisation des toits de Manhattan.