La green attitude n’a semble-t-il que de bons effets. Les élus, poussés par la prise de conscience d’une partie de la population prennent des initiatives qui vont dans le bons sens. Le maire de la capitale azuréenne, Christian Estrosi, n’est pas le dernier à suivre cette louable tendance.
La pollution de l'air tue. Selon l'OMS, elle est responsable de 48 000 morts par an en France - dix fois plus que les accidents de la route - et d'un tiers des infarctus et des AVC dans le monde. L'importance des enjeux mais aussi la gravité des compromissions (dont l'affaire Volkswagen n'est qu'une partie) en font un des plus grands scandales sanitaires de ce début de siècle.
A l’heure où la grande distribution et les géants de l’agroalimentaire viennent de signer avec l’État Le Pacte en faveur de la réduction et le recyclage des emballages plastiques d’ici 2025, « Juste Bio », leader français de la distribution en vrac bio de fruits secs, graines et légumineuses avec plus de 75% de parts de marché en France et 3500 points de vente en grandes et moyennes surfaces, a déjà éliminé près de 150 tonnes de plastique en 2018 grâce à son concept vrac. Désireuse d’aller encore plus loin et plus vite, l’entreprise convertira, dès le 1er juin 2019, toutes ses gammes de type snacking en sachets sans plastique et s’engage à ne plus émettre le moindre emballage polluant à compter du 1er janvier 2020. Ce virage vers le zéro déchet s’amorcera dès juin de cette année.
Dépôts sauvages, déchets abandonnés sur la voie publique, excréments canins non ramassés, mégots jetés par terre, affichages intempestifs, nuisances sonores… la liste est longue des incivilités qui affectent au quotidien la vie en société, dégradant paysages et grévant les budgets communaux.
Le Global Food Safety Initiative (GFSI) est un projet international pour faire progresser la sécurité alimentaire et améliorer la confiance des consommateurs. Il tiendra sa 18ème conférence à Nice, du 25 au 28 Février 2019. Plus de 1000 acteurs majeurs de l’industrie agroalimentaire provenant de plus de 50 pays différents seront présents, mêlant grands acteurs de la distribution, producteurs et pourvoyeurs de services à des chercheurs, régulateurs et représentants de consommateurs.
Lorsqu’on connaît les prises de position de Stéphanie de Monaco, on peut en douter. Si l’on doute fort qu’elle change d’avis sur la question, espérons que ses petits enfants, éprouveront un peu plus de vraie empathie pour la gente animale...
Plus qu’une fable, ou un article, voici une lettre ouverte d’un internaute, Alexandre Barthélémy, s’adressant aux utilisateurs de Facebook, et qui nous interpelle :