Cannes : un passé chaque année ressuscité

à l’occasion des vœux de fins d’année.

« Chausseur depuis 1878, PARACHINI représente la tradition cannoise d'une entreprise familiale qui a fait le choix du confort et de la qualité, la garantie d'un siècle de savoir-faire, l'image d'un goût sûr, sans extravagance, qui garde les pieds sur terre ».

Et c’est sans doute parce que la famille Parachini est attachée aux traditions qu’elle expédie chaque année les vœux à ses amis et à ses clients. Elle choisit toujours des reproductions de cartes postales d’époques ou de peintres locaux qui ont fixé les moments d’une ville en mutation. Un Cannes qui, de simple village de pécheurs, gagnait ses lettres de noblesse grâce à la venue des princes et princesses d’Europe et de Russie…

Cette année c’est une vue de la jetée Albert-Edouard – édifié en 1898. A droite, on aperçoit la première version du Casino municipal, inauguré en 1907. Au centre, l’hôtel Splendid dont l’atout principal était et est toujours, sa vue sur le port et les Allées. La tenue des rares promeneurs rappellent qu’en ces temps là, le soleil n’était pas la denrée la plus recherchée… les hommes étaient tous chapeautés, été comme hiver, les dames très couvertes, cannes et ombrelles de mode.

Au centre aussi, on devine une construction baroque qui intrigue…

  • Longtemps rue d’Antibes, le magasin mère s’est installé 7 rue des Belges.
  • L’autre adresse, inchangée depuis quelques décennies, sise au 54 rue Meynadier.


- mention : www.pariscotedazur.fr – décembre 2007 -
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